LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Merci, Me Renard et Amy.

Moi, je pense que le droit est quelque chose étroitement attachée à un pays. Sa territorialité empecherait la mobilité des praticiens, ce qui est peut-etre lecas d'Amy. L'exemple le plus frappant : la reconnaissance de diplome de droit par les pays membre de l'UE reste toujours la plus délicate. A la diff d'autres sciences exactes disposant de leur propre language, il est largement influencé par la culture de chaque pays, d'où la notion de la culture juridique propre à chaque Etat, et d'où il résulte que, pour l'accaparer, il faut vivre assez longtemps avec lui. Moi, je passe une année d'études en 3e cycle en France, imaginez des difficultés rencontrées.

Phong

Merci, Me Renard et Amy.

Moi, je pense que le droit est quelque chose étroitement attachée à un pays. Sa territorialité empecherait la mobilité des praticiens, ce qui est peut-etre lecas d'Amy.

Phong

surtout que l'étude du droit anglais est tout à fait différente de celle du droit français. C'est de la common law, pas comme en France.
cela peut expliquer les réticences des entreprises françaises : les bases sont vraiment différentes, et on ne peut travailler en France sans avior des bases de droit français. Peut etre serait-il utile de refaire une année de formation : la double culture juridique, ça c'est plus interessant pour une entreprise.

Cdt,

cela depend du type de cabinet que tu as demande aussi...

Evidemment, il ne faut pas aller voir du cote des cabinets franco-francais, qui ne seront probablement as interesses par ton profil (quoique, je connais quelqu'un avec ton profil qui a pu bosser chez Gide, donc c pas impossible, mais c'est plus difficile a decrocher...)

A ta place, j'aurai contacte de preference des cabinets d'origine anglaise (ou americaine) et je suis sur que tu trouveras un cabinet anglais a Paris (Herbert Smith, etc.) qui sera interesse par ton profil (meme si je crois que tu dois commencer par un stage).

Regardes bien les sites des cabinets anglais - il y en a 2 ou 3 qui indiquent qu'ils recrutent uniquement des personnes avec des diplomes britanniques, et donc tu as toutes tes chances avec eux

je t échange ton diplome anglais ou americain contre mes diplomes...

ça te dis ?


lol...



qd je pense que moi je veux travailler a new york ou a miami, et d autres veulent travailler en france ou le domaine de la plaidoirie est totalement saturée...

j avais lu un article qui disait qu a paris, si tu sortais pas de hec ou d assas, faut meme pas esperer décrocher un emploi dans un cabinet français de grande renomée

Bonjour,
Je m'inspire ici de Challenges du 27 Septembre au 3 octobre 2007 sur les" atouts des facs qui marchent".
On découvre à travers cet article qui sera sans doute contreversé toute l'importance du marketing pour l'Université et l'importance de la forme dans la compétition mondiales et l'importance des fondations maintenant admises dans le monde universitaires.
-Sur le nom, une publicité:
" Avec des appellations comme Lyon 3 ou Paris 1-Panthéon , difficile d'espérer concurrencer Oxford ou Berkeley: la fac doit soigner son image.
Plongés dans le bain de la concurrence internationale , nos bonne vieilles facs auraient toout à gagner à valoriser le nom de leur ville pltôt que de mettre en avant leur n° (Lyon 2, bordeaux 3 ..... ), parfaitement obscur au delà de nos frontières .Difficile , en effet , avec des appellations aussi absconces , d'imaginer concurrencer un jour les Berkeley, Wharton, Oxford ou Cambridge.Ou même leurs colléguès de Dauphine ou d'Assas (en fait Panthéon -Assas Paris 2) dont le nom d'usage fleure l'excellence et la tradition , alors qu'elles n'ont pas plus de quelques décennies d'existence...
En mars 2007 , Paris 1 a déposé l'appellation Sorbonne Business School à l'Institut national de la propriété industrielle qui a un nom magique comme la tour Eiffel ou le Louvre...."
- "Les universités vont aussi pouvoir créer des fondations pouvant collecter des fonds .Pas pour les dépenses courantes: pour se constituer un patrimoine qui rapportera un complément de budget .Les grandes écoles ont ouvert la voie , L'Insead a levé 169 millions.HEC a reçu un chèque de 5 millions de Philippe Foriel -Destezey , fondateur d'Adecco et ancien élève.Lyon 1 vient de lancer sa fondation , avec le concours de Sanofi -Pasteur et de la Banque Populaire qui se sont engagés sur 5 ans à verser 350 000 euros pour financer des projets .......
Cordialement.

Reste que 350 000 euros c'estvraiment pas grand chose a l'echelle d'une fac.