Merci de vous être arrêtez et de m'avoir donné –brutalement ou amicalement

- ces perspectives.
A bien vous comprendre, le problème viendrait d'un mauvais choix quant à mon Master 2.
Il me parait toutefois cohérent pour un informaticien de passer un master 2 droit des affaires,
spécialité Multimédia et système d'information. (
Droit des bases de données, e-commerce - protection des nom de domaine - CNIL - Cybersurveillance / élection professionnelles dématérialisées ...)
Cependant, et c'est ce que je disais dans un post précédent, c’est faute d'offre en rapport avec ce diplôme dans ma région et à défaut d'expérience concrète que je me suis dit que je pourrai tenter d’exploiter mes compétences «
pratiques » en droit social.
Mon objectif, qui est un luxe aujourd’hui et j’en suis conscient, consiste à travailler dans un milieu juridique car j’aime cette matière. Les gens qui font un travail qu'ils aiment le font d'autant mieux ...c'est en tout cas ma conception du travail à .. 39 ans
L’approche peut paraitre candide, je vous l’accorde, mais cela ne fait en rien de moi un « philosophe ».
Si j’ai validé une licence sur 3 ans, puis un Master 1 et enfin mon Master 2 c’est que la matière me plait.
Découvrir une situation, identifier la ou les problématiques, envisager la règle de droit en adéquation et l’appliquer au cas d’espèce.
En informatique c’est pareil, sans pour autant être déconnecté du réel.
On m’appelle - ce peut être vous - en me disant « ça marche pas »

.
OK, qu’est ce qui ne marche pas ?. .
1-Identification du problème, 2-on envisage les solutions techniques applicables à ce type de dysfonctionnement et 3- on choisit celle qui correspond.
Bon, en attendant je vais cogiter et dormir sur vos approches, pour lesquelles je vous remercie d’avoir pris le temps de les poster.
Concernant l'informaticien avec des compétences de juriste... à dire vrai je ne vois pas ...
Comme je l’ai indiqué,
la reconversion n’est pas aisée. en ce qui me concerne.
Cependant dans une démarche de reconversion individuelle, ce n'est pas le recruteur qui devrait mettre un candidat face à ses incohérences.
Dans ce type de cas c'est l'absence d'accompagnement universitaire (qui se borne à vendre l'excellence des formations qu'elle dispense) qui fait naitre une incohérence sur un profil - lorsque incohérence il y a.
Maintenant il va quand même falloir que j’avance, après 12 ans dans mon entreprise info, j’ai démissionné au lendemain de l'obtention de mon M2 et je commence vraiment à chercher un emploi pour vivre… lundi prochain