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Devant le fait que nous n’avons pas été entendus, que ce jugement intervient après une instruction à sens unique et afin de préserver ces enfants, j’ai pris l’initiative de déposer une plainte au commissariat contre les parents de ma compagne, pour dénonciation calomnieuse, en insistant sur le fait que cette fausse attestation a été utilisée dans le cadre d’une procédure contentieuse.
Ma compagne et moi-même sommes dévastés de constater que le principe du contradictoire et les droits de la défense aient été purement et simplement balayés par un magistrat, qui, au delà de l’application d’un principe de précaution, a jugé à l’emporte pièce le transfert, en cours d’année, de la garde d’enfants, sur la base d’une attestation vide de sens, creuse et sans fondement, et des écrits réalisés par un enfant mineur, contre son gré.
Est-ce à dire qu’aujourd’hui, en France, dans un pays qui se targue de respecter les Droits de l’Homme, il est possible d’accuser à tort un homme de maltraitance, et d’autoriser dans le même temps un droit de visite et d’hébergement à ce même foyer ?
Ces enfants doivent-ils n’être maltraités que les premier, troisième et cinquième week end du mois ?
Est-ce la justice et la logique juridique auxquelles tout citoyen a droit ?