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Lorsque l’entreprise licencie une femme à son retour de son congé maternité, après avoir attendu la période de protection de 10 semaines, et que l’entreprise n’a pas de cause réelle et sérieuse, quelle est la jurisprudence en terme d’indemnités dues au salarié (en plus des indemnités légales liées à l’ancienneté) ?
Vous évoquiez des indemnités de 6 mois dans votre article, en cas de licenciement illicite pendant la période de protection. Est-ce comparable ?
Et maintenant qu’on a le barème Macron (3 à 6 mois pour 5 ans d’ancienneté par exemple), est-ce qu’il s’applique ? Est-ce que les Prud’hommes vont considérer que l’entreprise doit aller au-delà ? ou alors en tout cas au maximum de ce barème ? Ou est-ce que certaines entreprises prennent le risque de donner le minimum d’indemnités ?