Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, RH, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 156 575 membres, 28235 articles, 127 304 messages sur les forums, 2 600 annonces d'emploi et stage... et 1 500 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Robert Badinter - L’œuvre d’un juste
« Un jour, je vous parlerai de la Justice...»
La Semaine Juridique - Édition Générale
Accédez à votre actualité juridique chaque semaine sous la plume d’auteurs de renom !
Sélection Liberalis du week-end : balade en terres corréziennes.
Les prochaines manifestations sportives des professionnels du Droit.
A voir et à Écouter... sur le Village de la justice:
bonjour
je vous remercie de votre article clair et intéressant. Toutefois, la qualification de dommages intérêts ( rupture abusive du CDD) alors même que le juge est tenu du quantum, interpelle quant au point de départ des intérêts. La réparation du préjudice qui s’impose au juge quant au montant impose le point de départ à la saisine de la juridiction, mais le vocable "dommages intérêts" reporte ce point de départ à la date de la décision. Or un salarié peut mettre trois ou quatre ans à voir son droit reconnu et pendant ce temps là, non seulement il n’aura pas perçu ses revenus, mais n’obtiendra aucune réparation du préjudice causé par ce paiement tardif, alors qu’en tout autre matière "salariale", ce sera le cas. Ces dommages intérêts sont d’ailleurs soumis à l’IRPP et aux cotisations sociales, ce qui prouve que leur nature est bien celle d’une rémunération et non de l’indemnisation d’un préjudice.
Qu’en pensez-vous ? Y a t il une jurisprudence récente sur ce cas de figure ?
Bien à vous
Maître Marc DONNEZ
Huissier de justice à BOULOGNE SUR MER (62)