LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Bonjour, le salarié a bien une lettre d embauche envoyée par email de l employeur, et un cdi en règle. Il a la photocopie des chèques remis par l employeur et le relevé des impayés remis par la banque. L existence du contrat n est pas contestable. À chaque demande de paiement du salarié, l employeur lui remettrait un nvx chèque. Le salarié a été embauché en avril jusqu en septembre. Donc période assez courte.

Qu en pensez vous?

Re,

À chaque demande de paiement du salarié, l employeur lui remettrait un nvx chèque. Le salarié a été embauché en avril jusqu en septembre.

C'est-à-dire ? Septembre marque quel évènement ? Chèques remis sur demande jusqu'à quand ?
Patron disparu quand ? Boîte liquidée quand ?
Quelque chose m'échappe un peu dans le "timing".

Même si cela ne fait pas avancer le schmilblik, comment ce "salarié" a t'il fait pour vivre pendant 3 mois sans salaire ?
N'a t'il pas eu un doute après le premier chèque sans provision surtout en ne voyant personne dans l'entreprise ?

Bonjour,
Bien pour ça que j'essaie de mieux comprendre le timing.
Parce qu'entre avril (embauche, supposons le 1er)( ) et le 31 octobre, ça ne fait jamais que 7 mois, toutes opérations de liquidation comprises ?)(liquidation "brutale", mais alors du modèle "super-flink", comme disent les Allemands en matière de fusibles...)

Re,
Accessoirement...

Bonjour, le salarié a bien une lettre d embauche envoyée par email de l employeur,

"certifié, garanti" ?

et un cdi en règle.

Original "net et clair" ?

Le contrat est bien en règle, signé, tamponnée etc, ce point est ok. Aucune remise en cause.
Le salarié embauché le 1er avril, il reçoit régulièrement des chèques qu il mets à l encaissement, puis ceux ci reviennent sans provision sauf un. Le salarié, certes naïf voire irresponsable pour nous, continue de travailler en croyant aux promesses de l employeur. Fin septembre de la même année les locaux ferment. Liq jud prononcée en janvier.

Voilà les éléments supplémentaires.

Après savoir si le salarié vit de l air du temps.... Il n en reste pas moins qu il s est retrouvé dans une grande difficulté financière, crédit impayé etc.

Bonsoir,

Fin septembre de la même année les locaux ferment. Liq jud prononcée en janvier.

Remarquez que j'aurais dû le deviner, mais l'affaire traîne donc depuis plus d'un an ?!?

Oui et non, disons que le salarié n est pas très diligent et surtout un peu perdu. Il pensait qu il serait forcément licencié à un moment ou un autre. La saisine du cph date d avant l été seulement.