LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

C'est l'adresse de la pétition... je ne sais pas si elle fonctionne déjà ou pas.

Si c'est le cas, merci de signer SVP.

A propos de l'UJA et du Syndicat des avocats : Attention à ce stade il est sans doute important de se concentrer sur les aspirations de notre profession avant d'aller chercher de l'aide chez les autres "corporations"(sauf des amis de confiance), car le risque de récupération à notre détriment est grand.

De plus je rejoins Chat Botté : L'UJA ne semble pas être l'"amie des juristes", c'est le moins que l'on puisse dire (allez voir leur site et les prises de positions de certains membres de cette organisation, ça fait froid dans le dos). Le syndicat des avocats je ne sais pas, mais je pense que dans le doute il vaut mieux s'abstenir.(désolée Vlad ce n'est évidemment pas contre vous, mais du côté de vos organisations certains n'y vont pas de main morte quand il s'agit de récupérer des parts de marché...).

Quand à l'horaire du café ad hoc, je précise en tant que de besoin que "dimanche à 18h" est juste une proposition car il faut bien commencer quelque part... ...
Pour l'instant quelques uns ont répondu présent à cette date, mais personne n'a fait de contre proposition ... Allez-y ne soyez pas timides

laissons ce forum aux vrais juristes à savoir les titulaires du CAPA enfin......

Je plaisante mais c'est cà ils ont faim les pauvres


ps j'ai le capa même si c'est et sera inutile

Bonjour,

le rendez-vous de 18 h est il maintenu?

Visiblement, non, je suis partant pour un RDV postérieur.

--> Lucio

En voilà une bonne nouvelle... Enfin quelqu'un qui se manifeste.

Je vous invite à vous rapprocher par MP de Léonine qui est l'instigatrice de ce RDV.

Bonsoir à tous,

le 1e RDV s'est finalement tenu par téléphone en (très) petit comité...

Mais dans les débuts ce n'est pas la quantité qui compte, et cette première prise de contact a été très positive.

Nous avons un projet dans l'oeuf, avec les moyens du bord pour commencer, mais ça peut être sympa.
A terme, il faudra quelque chose de plus "institutionnel", mais pour cela il faut d'abord réfléchir ensemble, rassembler plus de monde et communiquer.

Chacun peut déjà mettre en oeuvre de son côté des "mesurettes" salutaires :
1/ Signer la pétition de Babs
2/ envoyer un courrier de protestation à l'AFJE (c'est scandaleux! ),
3/ Sensibiliser ses contacts, camarades (anciens/actuels) de classe et collègues aux enjeux (Il semble que beaucoup de juristes ne se doutent de rien ou peu et risquent de tomber de haut.)
4/ Ecrire un article circonstancié (ou non) sur son blog personnel (à l'instar de Nemo Auditur http://uniqueetcommun.blogspot.com/2009 ... e-des.html : )
5/ [Autres idées bienvenues: à compléter]

Il sera bien sûr nécessaire d'organiser très rapidement d'autres RDV pour parler de fond et de stratégie, et toutes les initiatives/idées/contributions/propositions de dates sont les bienvenues.

En revanche, pour ce faire, il faudra bien que l'on se retrouve seuls, entre "juristes menacés du même destin tragique", avant d'ouvrir le cercle de discussion lorsque nous aurons des bases plus solides. Du coup je ne suis pas certaine (même pas du tout...) que l'on puisse avoir recours à la "procédure du Café Juridique" pour le moment (du moins en ce qui concerne la stratégie... ).
J'espère que nos sympathiques co-villageois et cousins de droit nous pardonnerons cette exception temporaire au principe de non discrimination, au nom du principe de précaution et de l'instinct de survie...

Cette semaine, pour ma part je n'aurai pas beaucoup de temps pour discuter ici (boulot + projet dans l'oeuf obligent), mais je vérifierai au moins mes MP le soir.

léoninement votre,

Bonsoir à tous,

le 1e RDV s'est finalement tenu par téléphone en (très) petit comité...

Mais dans les débuts ce n'est pas la quantité qui compte, et cette première prise de contact a été très positive.

Nous avons un projet dans l'oeuf, avec les moyens du bord pour commencer, mais ça peut être sympa.
A terme, il faudra quelque chose de plus "institutionnel", mais pour cela il faut d'abord réfléchir ensemble, rassembler plus de monde et communiquer.

Chacun peut déjà mettre en oeuvre de son côté des "mesurettes" salutaires :
1/ Signer la pétition de Babs
2/ envoyer un courrier de protestation à l'AFJE (c'est scandaleux! ),
3/ Sensibiliser ses contacts, camarades (anciens/actuels) de classe et collègues aux enjeux (Il semble que beaucoup de juristes ne se doutent de rien ou peu et risquent de tomber de haut.)
4/ Ecrire un article circonstancié (ou non) sur son blog personnel (à l'instar de Nemo Auditur http://uniqueetcommun.blogspot.com/2009 ... e-des.html : )
5/ [Autres idées bienvenues: à compléter]

Il sera bien sûr nécessaire d'organiser très rapidement d'autres RDV pour parler de fond et de stratégie, et toutes les initiatives/idées/contributions/propositions de dates sont les bienvenues.

En revanche, pour ce faire, il faudra bien que l'on se retrouve seuls, entre "juristes menacés du même destin tragique", avant d'ouvrir le cercle de discussion lorsque nous aurons des bases plus solides. Du coup je ne suis pas certaine (même pas du tout...) que l'on puisse avoir recours à la "procédure du Café Juridique" pour le moment (du moins en ce qui concerne la stratégie... ).
J'espère que nos sympathiques co-villageois et cousins de droit nous pardonnerons cette exception temporaire au principe de non discrimination, au nom du principe de précaution et de l'instinct de survie...

Cette semaine, pour ma part je n'aurai pas beaucoup de temps pour discuter ici (boulot + projet dans l'oeuf obligent), mais je vérifierai au moins mes MP le soir.

léoninement votre,

Bonjour,

Je suis notaire assistant et comme beaucoup, je n'arrive pas à m'installer.

Le rapport Darrois suggère la fin du numerus clausus.

Si comme moi, vous souhaitez vous unir afin que nous fassions entendre notre voix, dîtes le moi.

Je ne suis pas naif, ce n'est qu'un rapport, qui fait suite à d'autres rapports...et je ne suis rien.
Mais si on arrive à être nombreux, peut-être que l'on pourra faire évoluer notre médiocre statut.

Au moins, essayons[/b]

[/b]

Bonsoir Notaire33,

pour ma part, à titre personnel, j'estime que chacun (càd vous et nous, juristes "de tous poils") devrait pouvoir jouir de la liberté élémentaire de se mettre à son compte afin de tenter de vivre de son métier, assimilé au prix de longues années d'études puis de pratique faiblement rémunérée (i.e. stages et assimilés etc..). quitte à mourir de faim faute de clients.

J'ai donc naturellement de l'empathie pour les notaires assistants qui sont dans une situation proche de celle des JE* bien que jouissant théoriquement d'instances représentatives et d'un statut réglementé.
*(je précise que pour moi "JE" englobe les juristes pratiquant en cabinet d'e. comptables, d'avocats, d'associations, etc.)

De même, il y a quelques années (mais pas tant que ça) je m'étais émue du sort des jeunes avocats qui ne pouvaient prêter serment tant qu'ils n'avaient pas signé une collaboration chez un confrère déjà installé (mais depuis que ce problème est résolu, certains d'entre eux semblent avoir oublié ce que c'est que d'être empêché de manière arbitraire de gagner sa vie...)

Je pense qu'à un moment nous devrons discuter de la réforme avec un spectre beaucoup plus large que l'appétit des grands cabinets d'affaires et/ou le bon vieux corporatisme à la française...

Un compromis acceptable pour tout le monde serait peut-être d'instituer en France un statut de juriste comparable à celui des solicitors anglais: ainsi les notaires installés et les avocats plaidants garderaient un statut privilégié, tout en ménageant la liberté d'installation/circulation de chacun pour le conseil (avec des passerelles vers les statuts privilégiés), -ce qui entre nous revient un peu au régime d'avant 91, mais il paraît que ce n'est pas gentil de dire que cette 1e réforme s'est révélée être une une ENORME bévue...)
...D'autant plus que ce type de régime serait certainement plus conforme à la Directive Services que ce que nous propose Me Darrois.

Ceci dit dans l'immédiat, pour nous JE, la priorité est de ne pas disparaître tout simplement de la carte.