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Bonjour,
Je crois que mon titre résume mon état d’esprit.
Tenter de protéger un criminel en se basant sur l’autorisation d’avortement donnée à une personne enceinte (autorisation limitée de plus dans le temps) est un non-sens.
En effet, si la femme est maître de son corps et de son destin,
Si le désir d’accomplissement de naissance de la Vie de l’embryon est donc subordonné à la volonté de la porteuse,
Le fait qu’elle n’accède pas à ce droit ou que le temps soit dépassé entraine d’office un droit à la Vie pour ce foetus. Droit qui est même conforté par la volonté de la Mère, des services publics et des services médicaux, de contrecarrer même les "aléas" de la nature et d’aider à cette réalisation.
Donc cette vie est prise en compte pour ce qu’elle est : la croissance d’un enfant.
Le fait de forcer un avortement est donc pour moi à considérer comme un meurtre du fait de l’accord de vivance que lui donne tacitement (un autre texte serait nécessaire) ou volontairement sa mère.
Considérer qu’il y a une probabilité de mort de l’embryon revient à déconsidérer le fait que la mort est un élément qui peut apparaitre sur un parcours de vie.
Maintenant, le problème posé de la peine de mort reste américain.