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je pense qu’il aurait été informatif et plus transparent que vous signez votre article en indiquant que vous appartenez à l’organisation dont vous faites la promotion dans l’article et qui se prétend "médiateurs professionnels" par opposition à ceux qui n’y adhérent pas indépendamment de toute qualité professionnelle par ailleurs et quelles que soient leurs formations.
la médiation obligatoire est par définition une hérésie, le processus devant rester volontaire.
Enfin, je ne peux qu’observer que vous dénigrez le droit collaboratif en adoptant les thèses de jean louis Lascoux, promoteur de l’organisation aux multiples noms associés alors même que c’est porteur pour les avocats dont vous êtes et que cela n’enlève rien à la médiation. Contrairement à ce que vous en dites, la pratique collaborative emploie entre autres la technique de négociation raisonnée et s’intéresse à la relation entre les personnes.
Le droit collaboratif n’est pas de la co-médiation puisque les parties sont assistées dans la négociation qui s’instaure chacune par son avocat qui lui donne les conseils juridiques requis. C’est un plus.
la procédure participative est plus un exercice procédural de mise en état préalable qui inspirée du droit collaboratif s’en éloigne tout à fait au regard des textes de droit positif et n’en suit pas la déontologie de base outre qu’elle ne requiert aucune formation spécifique permettant de dépasser une négociation ordinaire de sorte que faute d’être pratiquée par des professionnels formés, ca passe ou ca casse.
tout ceci est regrettable.
Un avocat se doit de rester indépendant et de proposer à ses clients les outils les plus adaptés faute de quoi il manque à ses obligations déontologiques.
Dominique Lopez-Eychenié
avocate au Barreau de Lille
Médiateure
déléguée régionale Nord- Pas-de-Calais de l’ANM (association nationale des Médiateurs)
Présidente de l’ADPCI (association des Professionnels Collaboratifs Interrégionale)