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Bonjour,
Je suis Olivier SANTOS, j’ai 45 ans et je travail dans une société de dépannage automobile. Entré dans la société en tant que fouriériste le 19/09/2016, je suis devenu chef d’exploitation le 03/04/2018. Le 17 mars 2020, j’ai reçu une promesse d’embauche dans une autre société dans un autre secteur d’activité. Cette démission survient un an après ma prise de fonction, car pas été payé dans mes nouvelles fonctions car j’avais découvert que nous seulement mon employeur ne me payait pas de mes nouvelles fonctions, mais il avait embauché plusieurs personne avant la prise de fonction à un salaire supérieur au mieux. J’ai donc écrit une lettre de démission qui est parti au courrier en A/R le 20 mars 2020. Le 24 mars, le courrier est arrivé et la société à été avisé de ce recommandé, puis déposé au point relais le 26 mars. A ce-jour, mon chef d’entreprise n’a pas récupéré ce-courrier. Le 23 mars, je l’ai contacté pour l’aviser de ma démission et qu’un courrier en A/R devait arriver le 24 ou le 25 mars. Il m’a alors indiqué que vu la situation sanitaire personne n’ira chercher ce courrier. La semaine suivante, afin de préparé mon départ et afin de pouvoir transmettre au plus tôt des documents d’embauche à mon futur employeur, j’ai demandé par mail à la RH et au comptable plusieurs documents (contrat ; avenant au contrat suite changement de poste au 3 avril 2018 et quelques fiches de salaires détruit lors d’un incendie dans mon service) mais au lieu d’avoir une réponse de leur par, mon employeur m’a alors téléphoné et indiqué que m’a démission ne pouvait pas être prise en compte au vu de la situation actuelle (incendie de mon service et COVID 19) Cette semaine, j’ai reçu de la part d’un collègue (responsable d’exploitation du site temporaire de la fourrière) un protocole d’accord de démission ou il m’indique que je dois attendre la fin du confinement et refaire une lettre de démission et refaire le mois de préavis avant de pouvoir quitter l’entreprise, ce qui signifie, que si la fin du confinement se termine en fin d’année, je serais obliger de rester dans cette entreprise qui ne m’a pas payer de salaire de chef d’exploitation depuis deux ans, mais en plus, de perdre l’embauche. Ma question se porte sur cette légalité de fin de confinement ou puis-je partir légalement au terme de mon mois de préavis, soit le 20 avril 2020 ? En vous remerciant par avance pour votre aide, car j’ai téléphoné à l’inspection du travail, mais que personne ne décroche le téléphone. Cordialement. Olivier SANTOS (Besançon)