fifi a écrit :heureusement, il y a des postes aussi en province même si les places sont assez chères en fait.
mais l'oreal= mode, parfum... donc oui, forcément Paris est le mieux.
mais pour l'aero? Paris n'est pas la meilleure place. Pour le vin, je pense que Bordeaux semble un meilleur choix ou Reims pour le champagne. On peut en donner des exemples de la sorte.
Donc courage, il faut perserverer, le choix de travailler ailleurs que Paris est possible avec les difficultés qu'il peut y avoir parfois à trouver un poste.
Pas mal de poste du côté de Lyon .
Jeromine a écrit :La concurrence est moins rude en province qu'à Paris
Jeromine a écrit :quand on quitte Paris on regrette son effervescence.
Jeromine a écrit : n'est pas toujours facile de s'habituer à la vie provinciale quand on débarque de Paris (même pour les anciens provinciaux devenus parisiens).
Cincinnatus a écrit :PAris sera toujours Paris mais d'autres villes commencent à monter notamment grace à de vielles politiques volontaristes, après Paris sera toujours le centre des affaires francais car les entreprises ont aussi besoin du centralisme et de la vitalité parisienne pour se développer... c'est bien beau de parler de s'installer dans le Larzac ou dans les Causses mais si c'est pour être loin de tout ses partenaires ca n'a pas d'intérêt...
garfield a écrit :Jeromine a écrit :La concurrence est moins rude en province qu'à Paris
C'est pas plutôt l'inverse ? Il est plus facile de trouver un emploi à Paris, non ?
Les provinciaux qui vont à Paris le font par obligation et donc parce qu'ils ne trouvent pas de travail chez eux.Jeromine a écrit :quand on quitte Paris on regrette son effervescence.
Oui, le stress du métro, les gens qui s'énervent pour un rien, le ballai dans le c...
Chacun ses goûts.
Jeromine a écrit : n'est pas toujours facile de s'habituer à la vie provinciale quand on débarque de Paris (même pour les anciens provinciaux devenus parisiens).
Le calme, les espaces verts (voire la nature), dire bonjour, sourire, c'est vrai que ça ne plait pas à tout le monde.![]()
Non, mais franchement quelle idée vous vous faites de la province ? Vous ne confondez pas plutôt avec le mot campagne.
mikado20 a écrit :garfield a écrit :Jeromine a écrit :La concurrence est moins rude en province qu'à Paris
C'est pas plutôt l'inverse ? Il est plus facile de trouver un emploi à Paris, non ?
Les provinciaux qui vont à Paris le font par obligation et donc parce qu'ils ne trouvent pas de travail chez eux.Jeromine a écrit :quand on quitte Paris on regrette son effervescence.
Oui, le stress du métro, les gens qui s'énervent pour un rien, le ballai dans le c...
Chacun ses goûts.
Jeromine a écrit : n'est pas toujours facile de s'habituer à la vie provinciale quand on débarque de Paris (même pour les anciens provinciaux devenus parisiens).
Le calme, les espaces verts (voire la nature), dire bonjour, sourire, c'est vrai que ça ne plait pas à tout le monde.![]()
Non, mais franchement quelle idée vous vous faites de la province ? Vous ne confondez pas plutôt avec le mot campagne.
Et vous, quelle idée vous faîtes vous de Paris?
garfield a écrit :
J’y travaille et j’y habite la semaine alors je ne parle pas dans le vent.
Je me rends compte que depuis quelques temps le métro me rend plus agressive. C’est dingue mais avant ça ne m’aurait rien fait de rater ma rame et d’attendre 2 min alors que maintenant ça m’énerve.
La semaine dernière je me suis même agacée parce que 2 personnes marchaient lentement.
Ca ne me serait jamais arrivé avant.
Du coup, j’ai décidé d’être plus zen.
Retourner dans ma région chaque we me permet de souffler. Je me détends et j’en ai besoin sinon je ne supporterais pas ma vie parisienne.
Mes collègues disent à peine bonjour le matin. J’ai mis beaucoup de temps à comprendre que c’était dans leur nature et que ça n’avait rien à voir avec moi.
Mon 1er jour de travail, ma collègue la plus proche (mon binôme) m’a clairement dit « Je n’ai rien contre toi mais nous ne serons jamais amies ». Bon… Je ne voulais pas non qu’elle soit une grande amie, seulement une collègue de travail avec laquelle ça collerait.
Plusieurs de mes collègues s’imaginent que le we je vis à la campagne alors que pas du tout (métropole lilloise) et quand je leur dis que je suis en ville elles me disent que de toute façon pour elles la province c’est la campagne.
Alors, oui, j’en ai marre que Paris soit portée aux nues alors qu’y vivre c’est parfois (voire souvent) la galère.
Que l’image que j’ai de Paris vous choque, soit, mais il ne s’agit pas que d’une image.
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