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Votre article est intéressant mais vous effleurez les problèmes. Avant 1947 (en fait avant 1941 lois de Vichy), il existait des systèmes de retraites par capitalisation et des caisses de secours mutuel dans le secteur privé. Les lois de 1941 ont capté les fonds gérés par les caisses pour commencer à ébaucher la Sécurité Sociales (officiellement porté sur le fonds baptismaux en 1947 "CNR ...").
Les caisses par capitalisation étaient encore créditrices. Après les belles années de reprise économique, dès le milieu des années 60, le système a été épuisé les soldes créditeurs perdus...).
Or, les mesurettes n’ont fait que marquer les différences de discriminations, vous n’évoquez pas - excessive pudeur ? - les différences de calcul des mode de reversion de pension, ni les courbes démographiques : entre un professeur de l’Education nationale et un ouvrier sur travail posté, les différences de vie "en retraite" sont pourtant réellement marquées et constatées.
Quant à la suite ou le futur du système français, pourquoi ne pas ouvrir sur un benchmark européen voire mondial ? Bien des Etats ont eu le courage de réformer à la fin des années 90, et leur système respectif s’en porte mieux avec différentes voies possibles. Vouloir "vendre" dans votre conclusion la solution de l’unicité c’est prévendre un système particulièrement inégalitaire et pour un pays qui se targue de démocratie, ne croyez-vous pas qu’il serait temps de laisser le libre choix aux personnes (il est clamer chaque année qu’il est nécessaire d’être souple, mobile, adaptable autant le faire pour les retraites aussi) ?
Je vous invite à prendre connaissance des réformes des Pays-Bas, de l’Allemagne voir du Chili et de Singapour. Il serait constructif de tomber les oeillères et sortir de du story-telling de la "spécificité française" c-à-d prendre les français pour d’éternls enfants demandant un Etat "nounou" alors que concrètement les Français ne sont pas fâchés avec une voie un peu plus libéral (permissive et ouverte).
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