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Bonjour,

Il y a actuellement une violation de la vie privée des entreprises qui est "banales".

En effet, avec des outils comme "office365" ou autres elles créent des adresses professionnelles sans le consentement des salariés.

Ce mail a été créé par l’entreprise en utilisant les données "personnelles" du salarié.

Dans les grandes entresprises cela se fait sans le consentement du salariè, c’est imposé.

Donc lorsque l’on est commercial ou cadre, c’est à dire des professions peuplés par des personalités qui aiment se mettre en avant au point de trouver "indispensable" et "valorisant" de mettre le nom de famille en avant avec un mail de type "prenom.nom@entreprise", il n’y a pas de problèmes.

Paradoxalement c’est cette minorité qui fait les règles.

Par contre quand à l’autre de bout de la chaine il y a, une autre minorité.
Exemple :
Le humble technicien qui débouche des wcs. Lui ce qu’il veut. Il fait son taf, il est payé et basta.
Les grandes histoires de l’épopée galactiques de son entreprise, il s’en fou.

Eh bien maintenant, on lui impose un mail "prenom.nom chez entreprise.com".
Ce mail est visible par tout le monde dans l’entreprise. Donc son nom de famille

L’entreprise crée un mail sur son réseau et "vole" les données privées de son salarié qu’elle croie sienne.
qu’elle diffuse à qui elle veut.
Son nom est diffusé dans la gazette mais aussi sur le yammer crosoft etc..

Sa vie privée n’a pas de prix.
Il considère que ses collègues de travail n’ont pas à connaitre son nom de famille.
Et ce d’autant plus avec les googles, facebooks etc.. et le croisement des données dans notre dos.

Quand une entreprise crée un mail de la sorte, elle s’approprie l’identité du salarié.
Un peu comme un chef qui pour se mettre en valeur dit devant le client au salarié.
"prenom.nom" , allez me cherche "prenom.nom" car Mr nom a besoin d’un renseignement.

Vouloir controler le nom d’une personne c’est vouloir la controler/dominer.
Ce type de mail n’est pas un hasard.

Et pourtant, rien à redire sur son travail. Mais on est pret à le virer si il se soumet pas.

Cela ressemble à un retour à l’esclavage version numérique. Pas aussi barbare et pourtant.
On marquait les esclaves au fer rouge pour montrer à tout le monde qui est le maitre.
Aujourd’hui on impose au salarié d’être corporate. Se transformer en homme sandwitchs en portant les habits du maitre.
Avec le numérique pareil, il doit faire dont de ses données personelles à son maitre.
Comme avec un chien, c’est le maitre qui décide de comment il s’appelle ;
et ; de comment il doit être appelé en imposant ses moyens de communications "mail, logiciel etc..".

En conclusion, cet abus est devenu tellement banal que je personne ne relève à mon grand regret.

Fabrice