LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Ma foi, je crois qu'on peut rêver de travailler dans une entreprise en général, pour avoir des revenus, une activité, sortir de chez soi, que sais-je encore. On peut encore avoir enve de travailler pour telle ou telle entreprise de manière préférentielle.

Mais de là à rêver de travaille pour une entreprise particulière, j'avoue que moi, sauf si'il s'agit d'une entreprise que je dirige, je ne vais pas rêver des masses. Et si je rêve, c'est parce que'il s'agira d'une construction personnelle en collaboration avec d'autres.

Histoire de se changer un peu les idées et de connaître au mieux les habitants et habitantes du village, je vous propose ce petit sondage et notamment de répondre à cette petite question : Quelles sont les entreprises pour lesquelles vous aimeriez travailler?

Bien, nous avions en fait deux questions distinctes :
- en titre: les entreprises qui vous font rêver?
- dans le corps du message: quelles sont les entreprises pour lesquelles vous aimeriez travailler?

Pour ma part, je redis que la réussite de certains entrepreneurs me fait rêver, mais ça ne veut pas dire que je rêve de travailler dans leur boîte (JCDecaux par exemple: sacré bonhomme, mais effectivemement il est loin d'être impossible que les collaborateurs subissent un léger lavage de cerveau dans ce groupe, pardon LE Groupe...).

moi je trouve ça vachement bien ce que dit Technosis !
En tout cas c'est ce qu'on pense au bout de 3 ans d'expérience, une fois les illusions perdues et la réalité affrontée ...

Ma foi, je crois qu'on peut rêver de travailler dans une entreprise en général, pour avoir des revenus, une activité, sortir de chez soi, que sais-je encore.

Désolée de faire ma susceptible Hervé, mais si c'est suite à mes propos que vous écrivez cela, je tiens à préciser que je ne cherche pas du travail "pour prendre l'air".

Pour moi, le travail n'est ni un passe-temps, ni un gagne-pain.

Je pense qu'il aide à la construction de la personne dans la mesure où, contrairement à la vie sociale ou familiale, il suppose une exigence et un jugement sinon objectif, du moins par un tiers, des capacités relationnelles et professionnelles, notamment de l'efficacité et de la compétence.

L'homme n'est humain que dans la mesure où il est en relation avec les autres, en tant qu'autres (l'acceptation de l'altérité est facteur d'épanouissement et de construction de la personne humaine). Le monde du travail oblige à créer des relations avec des personnes "autres" alors que le mode de construction des relations dans le cercle familial et amical est au contraire fondé sur la moindre altérité et comporte dans une certaine mesure une absence de liberté relationnelle.

Cordialement
Basille