Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, RH, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 156 575 membres, 28210 articles, 127 304 messages sur les forums, 2 600 annonces d'emploi et stage... et 1 500 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Robert Badinter - L’œuvre d’un juste
« Un jour, je vous parlerai de la Justice...»
La Semaine Juridique - Édition Générale
Accédez à votre actualité juridique chaque semaine sous la plume d’auteurs de renom !
Sélection Liberalis du week-end : balade en terres corréziennes.
Les prochaines manifestations sportives des professionnels du Droit.
A voir et à Écouter... sur le Village de la justice:
J’ai bien lu votre texte sur la contestation d’un permis de construire et je me permets de poser la question suivante.
Si j’ai bien compris, il est indispensable de justifier un intérêt à agir. Ce dernier est présupposé en cas de voisinage direct et peut être étayé par des considérations de nuisances apportées par la nouvelle construction. On peut citer des nuisances d’ordre sonore ou visuel comme la perte d’ensoleillement ou de vue.
Cependant, il semble que les arguments qui justifient l’intérêt à agir, supposons qu’il s’agisse de la perte de vue, ne soient pas recevables pour s’opposer au permis de construire car ces derniers ne relèvent pas du droit de l’urbanisme mais du droit civil.
Dès lors, un voisin est-il fondé à contester un permis de construire sur des arguments tels que les nuisances apportées par la future construction ?
Merci de m’éclairer sur ce point.